Résumé :
Jamais ce qu'il est convenu d'appeler les " illusions du progrès " n'a été exposé avec autant d'éloquence.
Condorcet, à la veille de mourir par la faute de cette Révolution qu'il a préparée et servie, persiste et signe. Son testament est aussi celui des Lumières, avec leur grandeur et leurs limites. Cette tentative d'embrasser d'un seul regard l'histoire de l'humanité pour y reconnaître les manifestations de la " perfectibilité de l'esprit humain " s'achève sur une extraordinaire évocation de l'avenir de l'humanité, où l'enthousiasme du " philosophe " s'unit à la sobriété du savant.
En un temps où le " pathos du déclin " fait recette, la lecture de l'Esquisse peut paraître intempestive. Les esprits libres s'y risqueront.
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Condorcet, à la veille de mourir par la faute de cette Révolution qu'il a préparée et servie, persiste et signe. Son testament est aussi celui des Lumières, avec leur grandeur et leurs limites. Cette tentative d'embrasser d'un seul regard l'histoire de l'humanité pour y reconnaître les manifestations de la " perfectibilité de l'esprit humain " s'achève sur une extraordinaire évocation de l'avenir de l'humanité, où l'enthousiasme du " philosophe " s'unit à la sobriété du savant.
En un temps où le " pathos du déclin " fait recette, la lecture de l'Esquisse peut paraître intempestive. Les esprits libres s'y risqueront.
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