" Les organisations sont comme les voitures. Elles ne roulent pas toutes seules, sauf dans les descentes. Elles ont besoin de quelqu'un pour les faire fonctionner. Et pas de n’importe qui, mais de gens compétents. L’efficacité des salariés conditionne les performances de la " machine ". Certaines personnes maîtrisent à ce point leur travail qu’elles rendent superflue toute intervention de leur supérieur ; d’autres au contraire se montrent tellement au-dessous de leur tâche qu’il serait vain de tenter de les rendre plus performantes. "
" Nous sommes tellement habitués à considérer les choses en termes de polarité (ou bien/ou bien) que toute situation paradoxale nous déstabilise. Néanmoins le paradoxe a son utilité ; c’est un excellent professeur. Il nous enseigne à dépasser nos modes de pensée traditionnels, une leçon fructueuse dans le monde de l’entreprise. Les leaders les plus remarquables sont en général ceux qui reformulent les situations complexes. En modifiant leur manière de percevoir les problèmes, ils transforment ce qu’ils voient. "
" Nous appelons " intelligence émotionnelle " la compréhension de nos propres forces motivationnelles et de celles des autres. Compte tenu de l’importance pour l’univers intérieur de chaque individu de la connaissance, de l’affect et du comportement, l’intelligence émotionnelle joue un rôle vital dans l’équation de l’autorité et du pouvoir. Cela revient à dire ceci : les gens dotés d’une grande intelligence émotionnelle ont plus de chance que les autres de se révéler des dirigeants efficaces. "
" Une entreprise [...] peut disposer de tous les atouts au monde, de ressources financières solides, d’une position enviable sur le marché, et d’une technologie de pointe ; mais l’absence de leader compétent et efficace réduit à néant tous ces avantages. Comme une voiture sans chauffeur, l’entreprise va dévaler la pente. "
" Sans leadership véritable, l’entreprise ne peut réussir. Il lui manque une dimension essentielle. Pour réellement comprendre ce que signifie être un leader, nous devons étudier la vie de l’entreprise selon trois dimensions (et non plus deux seulement). Cette perspective nous emmène sous la surface des choses, dans le domaine des peurs, des espoirs et des motivations inconscients. "