1. Inhibition d'Action et encombrement de l'esprit
Pour beaucoup d'entre- nous, la période que nous vivons est angoissante Nous sommes confrontés à un changement radical des règles du jeu et l'avenir est difficilement lisible. Cette situation préoccupante encombre l'esprit et absorbe une certaine quantité d'énergie. Se faire du souci ou avoir des soucis se caractérise à la fois par un accroissement de l'activité mentale et par une charge émotionnelle plus intense ; ce qui n'est généralement pas sans conséquences sur l'état de fatigue des personnes.
La pensée populaire associe souvent à ce propos la notion d'empoisonnement des humeurs. Quand on se fait du souci, on se fait en même temps du " mauvais sang ". Cet adage se trouve scientifiquement confirmé par les théories d'Henri laborit et de Hans Selye sur le stress. Se faire du souci s'accompagne souvent en effet d'une certaine difficulté à agir. Si les soucis persistent à occuper l'esprit du sujet c'est que souvent, celui-ci a du mal à trouver une action satisfaisante qui pourrait entraîner une résolution des problèmes. Se faire du souci sera donc toujours le résultat d'une certaine "Inhibition d'Action" (Laborit). Or c'est précisément cette incapacité à agir qui selon Henri Laborit est la source de toutes les pathologies physiques ou psychiques . On comprend donc aisément le lien qui peut exister entre la persistance de certaines ruminations mentales et certains troubles psychosomatiques .
Chacun d'entre- nous faisons appel à plusieurs types de stratégies "cognitives " pour traiter cette problématique. Certains pratiquent la fuite en évitant d'entrer en contact avec le souvenir même des soucis. Il s'agit d'un processus de refoulement dont la fonction est d'échapper à la conscience des émotions associées à ces préoccupations. D'autres, au contraire font preuve d'une hyperactivité sans pour autant, parfois, pouvoir régler les problèmes. L'évitement comme l'activisme ne permettent pas de réduire l'angoisse déclenchée par cette activité mentale.
La solution passe par la capacité à rétablir la capacité d'action du sujet face à ces problèmes qu'il a tendance à vouloir éviter pour ne pas ressentir l'angoisse que ceux-ci peuvent susciter en lui.
La pensée populaire associe souvent à ce propos la notion d'empoisonnement des humeurs. Quand on se fait du souci, on se fait en même temps du " mauvais sang ". Cet adage se trouve scientifiquement confirmé par les théories d'Henri laborit et de Hans Selye sur le stress. Se faire du souci s'accompagne souvent en effet d'une certaine difficulté à agir. Si les soucis persistent à occuper l'esprit du sujet c'est que souvent, celui-ci a du mal à trouver une action satisfaisante qui pourrait entraîner une résolution des problèmes. Se faire du souci sera donc toujours le résultat d'une certaine "Inhibition d'Action" (Laborit). Or c'est précisément cette incapacité à agir qui selon Henri Laborit est la source de toutes les pathologies physiques ou psychiques . On comprend donc aisément le lien qui peut exister entre la persistance de certaines ruminations mentales et certains troubles psychosomatiques .
Chacun d'entre- nous faisons appel à plusieurs types de stratégies "cognitives " pour traiter cette problématique. Certains pratiquent la fuite en évitant d'entrer en contact avec le souvenir même des soucis. Il s'agit d'un processus de refoulement dont la fonction est d'échapper à la conscience des émotions associées à ces préoccupations. D'autres, au contraire font preuve d'une hyperactivité sans pour autant, parfois, pouvoir régler les problèmes. L'évitement comme l'activisme ne permettent pas de réduire l'angoisse déclenchée par cette activité mentale.
La solution passe par la capacité à rétablir la capacité d'action du sujet face à ces problèmes qu'il a tendance à vouloir éviter pour ne pas ressentir l'angoisse que ceux-ci peuvent susciter en lui.
2. La méthode Templus propose une double stratégie
Pour réduire l'anxiété, la solution consiste à restaurer chez le sujet sa capacité d'Action. La méthode Templus distingue deux types de soucis :
1) Les soucis quotidiens liés à la vie de tous les jours.
2) Les soucis plus existentiels liés au besoin de réalisation.
Les premiers s'inscrivent dans le court terme et relèvent de préoccupations très opératoires et immédiates tandis que les seconds sont davantage en relation avec les valeurs propres de l'individu et de ce qui fait sens pour lui dans l'existence humaine. Les soucis d'ordre opératoires sont le résultat la plupart du temps d'une certaine procrastination vis-à-vis de problèmes généralement administratifs pour lesquels personne n'a beaucoup d'appétence tandis que les seconds touchent des aspects plus profonds et plus intimes de l'individu.
1) Les soucis quotidiens liés à la vie de tous les jours.
2) Les soucis plus existentiels liés au besoin de réalisation.
Les premiers s'inscrivent dans le court terme et relèvent de préoccupations très opératoires et immédiates tandis que les seconds sont davantage en relation avec les valeurs propres de l'individu et de ce qui fait sens pour lui dans l'existence humaine. Les soucis d'ordre opératoires sont le résultat la plupart du temps d'une certaine procrastination vis-à-vis de problèmes généralement administratifs pour lesquels personne n'a beaucoup d'appétence tandis que les seconds touchent des aspects plus profonds et plus intimes de l'individu.
3. Le plan d'action anti-souci de niveau 1 en 11 points clés
La méthode TEMPLUS a mis au point un processus intéressant à ce niveau. Faites- en l'expérience ! Il suffit de répondre à chacune des questions suivantes en respectant l'ordre proposé :
1° Faites la liste des activités usantes et dynamisantes.
2° Lister les soucis du moment sans vous censurer.
3° Demandez- vous : " Que se passerait-il si le pire arrivait ? ".
4° Remontez dans votre passé proche et b[faites la liste des réussites que vous réalisées l'an passé.
5° Demandez- vous pour chaque succès ou réussite b[quelles sont les aptitudes dont vous avez fait preuve.
6° Demandez- vous la même chose à propos b[des valeurs que vous avez mis en œuvre à cette occasion.
7° Reprenez la liste de vos soucis et classer- les avec la méthode ABC (matrice d'Eisenhower).
8° Demandez- vous pour chaque souci quelles sont les compétences et les valeurs que vous devez mobiliser pour résoudre ces soucis.
9° Notez sur une colonne la liste des principaux soucis que vous avez sélectionné et en face les actions que vous allez mener pour les réduire en fixant des dates de fin.
10°Inscrivez dans votre agenda des Rendez Vous avec vous mêmes et des micro- activités que vous devrez mettre en œuvre pour régler les problèmes.
11°Faites le point chaque semaine sur les actions menées.
Cette méthode peut être pratiquée individuellement ou en équipe.
1° Faites la liste des activités usantes et dynamisantes.
2° Lister les soucis du moment sans vous censurer.
3° Demandez- vous : " Que se passerait-il si le pire arrivait ? ".
4° Remontez dans votre passé proche et b[faites la liste des réussites que vous réalisées l'an passé.
5° Demandez- vous pour chaque succès ou réussite b[quelles sont les aptitudes dont vous avez fait preuve.
6° Demandez- vous la même chose à propos b[des valeurs que vous avez mis en œuvre à cette occasion.
7° Reprenez la liste de vos soucis et classer- les avec la méthode ABC (matrice d'Eisenhower).
8° Demandez- vous pour chaque souci quelles sont les compétences et les valeurs que vous devez mobiliser pour résoudre ces soucis.
9° Notez sur une colonne la liste des principaux soucis que vous avez sélectionné et en face les actions que vous allez mener pour les réduire en fixant des dates de fin.
10°Inscrivez dans votre agenda des Rendez Vous avec vous mêmes et des micro- activités que vous devrez mettre en œuvre pour régler les problèmes.
11°Faites le point chaque semaine sur les actions menées.
Cette méthode peut être pratiquée individuellement ou en équipe.
4. Définissez en profondeur vos priorités fondamentales pour l'avenir
Pour être en paix avec soi-même, il est important de respecter suffisamment ses propres idéaux. La méthode de niveau 2 proposée ici, permet de mettre en évidence les idéaux importants pour soi-même à partir d'une courte anamnèse (exploration) de sa propre histoire. Là aussi, il est important de respecter l'ordre des questions.
1° Faites la liste de vos aspirations, projets, désirs en répondant qu'est ce qui serait pour vous une réussite dans 5 ans, 10 ans ou plus.
2° Remontez le plus loin possible dans votre histoire personnelle et demandez- vous qu'elles ont été pour vous les réussites et les échecs les plus significatifs de votre existence. Retrouvez par le souvenir les évènements qui ont contribué à développer ou à altérer l'estime de vous-mêmes.
3° Pour chaque réussite ou échec demandez- vous quelles ont été les aptitudes et les valeurs que vous avez mis en œuvre.
4° Faites la liste des personnes que vous admirez le plus dans l'existence ? Ce sont peut-être des personnes de votre propre histoire ou des personnages de roman ou de film.
5° Quelles sont les aptitudes et les valeurs dont ces personnages ont fait preuve ?
6° Faites la liste des principales valeurs qui vous inspirent dans l'existence.
7° Définissez à partir de là vos priorités fondamentales pour l'année et hiérarchisez- les.
Cet aspect de la méthode doit être pratiqué après le plan d'action anti- souci pour que les priorités qui émergent ne soient pas une réaction à des stress du moment mais une action qui corresponde aux valeurs clés qui sont les vôtres. En général tous ceux qui l'ont pratiqué en ressentent une grande sérénité.
1° Faites la liste de vos aspirations, projets, désirs en répondant qu'est ce qui serait pour vous une réussite dans 5 ans, 10 ans ou plus.
2° Remontez le plus loin possible dans votre histoire personnelle et demandez- vous qu'elles ont été pour vous les réussites et les échecs les plus significatifs de votre existence. Retrouvez par le souvenir les évènements qui ont contribué à développer ou à altérer l'estime de vous-mêmes.
3° Pour chaque réussite ou échec demandez- vous quelles ont été les aptitudes et les valeurs que vous avez mis en œuvre.
4° Faites la liste des personnes que vous admirez le plus dans l'existence ? Ce sont peut-être des personnes de votre propre histoire ou des personnages de roman ou de film.
5° Quelles sont les aptitudes et les valeurs dont ces personnages ont fait preuve ?
6° Faites la liste des principales valeurs qui vous inspirent dans l'existence.
7° Définissez à partir de là vos priorités fondamentales pour l'année et hiérarchisez- les.
Cet aspect de la méthode doit être pratiqué après le plan d'action anti- souci pour que les priorités qui émergent ne soient pas une réaction à des stress du moment mais une action qui corresponde aux valeurs clés qui sont les vôtres. En général tous ceux qui l'ont pratiqué en ressentent une grande sérénité.
5. Pourquoi ces 2 méthodes fonctionnent ?
Les processus proposés ne relèvent pas de la magie). Ils mobilisent des éléments psychiques bien identifiés.
Dans le plan d'action anti- souci de niveau 1 la question 3 "Demandez- vous, ce qui se passerait si le pire arrivait ?" est une technique utilisée par le psychiatre américain F. Perls qui posait l'hypothèse qu'à chaque souci était accroché un fantasme. Tant que ce fantasme reste accroché à la préoccupation, il entretient une intensité dramatique si élevée que cela suscite une angoisse de mort qui paralyse le sujet.
Cet exercice très salutaire peut être pratiqué à maintes occasions : chaque fois qu'on rencontre une situation anxiogène (Par exemple parler en public, etc.). En se posant cette question, on rend conscient le fantasme imaginaire qui hante le sujet ; ce qui permet de se rendre compte du coté irrationnel que nous attribuons à l'évènement. Cette prise de conscience permet alors un ressaisissement et ramène l'évènement à une plus juste dimension. Cette amplification du souci fonctionne comme un révélateur qui permet de passer, comme dans un laboratoire de photographie, du négatif au réel.
Dans l'exercice d'identification des priorités fondamentales, l'accent est mis sur l'identification des idéaux. Les idéaux constituent ce que Freud a appelé "l'Idéal du Moi". On connait son importance dans la dynamisation du sujet et des groupes (Auber, De Gaulejac, Enriquez). La dépression nerveuse s'accompagne toujours d'un affaiblissement de l'Idéal du Moi . Sans idéaux pas de convictions; sans convictions, l'individu devient incertain. Pour Marcel Gauchet, les sociétés traditionnelles procuraient aux individus des idéaux qui leur permettaient de supporter les vicissitudes de l'existence humaine. Dans les sociétés post modernes, cet héritage est souvent mis en question. C'est selon lui, la dissolution des valeurs du passé, liée à l'évolution plus rapide des mentalités qui serait à l'origine des grandes incertitudes que chacun en tant que sujet ressentirait aujourd'hui. L'angoisse fondamentale ne serait ainsi plus contenue ou étayée et flotterait dans la conscience des individus livrés seuls à eux-mêmes, face à des questions qui étaient auparavant partiellement pris en charge par la culture.
Les 2 méthodes mettent l'accent sur le renforcement de l'estime de soi . On remarquera en effet qu'à plusieurs reprises on propose au lecteur de reprendre contact avec des évènements positifs passés qui ont contribué à renforcer l'estime de lui-même. On vise ici à recharger, au moins provisoirement le sujet, au niveau narcissique pour libérer l'énergie soit pour passer à l'action (pour le plan d'action anti- soucis de niveau1), soit pour se projeter avec conviction dans l'avenir (pour l'identification des priorités fondamentales). Si le 1 exercice vise à faciliter chez le sujet le retour à l'action, le second vise à consolider la personne dans ses fondements en lui permettant de reprendre contact avec ses valeurs et des idéaux essentiels.
Une fois les actions et les priorités identifiées, il est important de pouvoir les intégrer dans des outils de gestion du temps. C'est pourquoi nous recommandons la pratique des check-lists qu'il est conseillé de visualiser régulièrement. En effet, il arrive fréquemment que sous la pression du quotidien nous ayons tendance à procrastiner et à oublier les décisions prises lors de ces 2 moments de réflexion. Certains aspects évoqués dans cet article avaient été déjà abordés dans l'article: 1.9 L'art des check-lists pour désencombrer l'esprit. Nous reviendrons plus tard sur l'intérêt de la visualisation pour donner de la force à ces décisions.
Support méthodologique réservé à nos abonnés payant
Dans le plan d'action anti- souci de niveau 1 la question 3 "Demandez- vous, ce qui se passerait si le pire arrivait ?" est une technique utilisée par le psychiatre américain F. Perls qui posait l'hypothèse qu'à chaque souci était accroché un fantasme. Tant que ce fantasme reste accroché à la préoccupation, il entretient une intensité dramatique si élevée que cela suscite une angoisse de mort qui paralyse le sujet.
Cet exercice très salutaire peut être pratiqué à maintes occasions : chaque fois qu'on rencontre une situation anxiogène (Par exemple parler en public, etc.). En se posant cette question, on rend conscient le fantasme imaginaire qui hante le sujet ; ce qui permet de se rendre compte du coté irrationnel que nous attribuons à l'évènement. Cette prise de conscience permet alors un ressaisissement et ramène l'évènement à une plus juste dimension. Cette amplification du souci fonctionne comme un révélateur qui permet de passer, comme dans un laboratoire de photographie, du négatif au réel.
Dans l'exercice d'identification des priorités fondamentales, l'accent est mis sur l'identification des idéaux. Les idéaux constituent ce que Freud a appelé "l'Idéal du Moi". On connait son importance dans la dynamisation du sujet et des groupes (Auber, De Gaulejac, Enriquez). La dépression nerveuse s'accompagne toujours d'un affaiblissement de l'Idéal du Moi . Sans idéaux pas de convictions; sans convictions, l'individu devient incertain. Pour Marcel Gauchet, les sociétés traditionnelles procuraient aux individus des idéaux qui leur permettaient de supporter les vicissitudes de l'existence humaine. Dans les sociétés post modernes, cet héritage est souvent mis en question. C'est selon lui, la dissolution des valeurs du passé, liée à l'évolution plus rapide des mentalités qui serait à l'origine des grandes incertitudes que chacun en tant que sujet ressentirait aujourd'hui. L'angoisse fondamentale ne serait ainsi plus contenue ou étayée et flotterait dans la conscience des individus livrés seuls à eux-mêmes, face à des questions qui étaient auparavant partiellement pris en charge par la culture.
Les 2 méthodes mettent l'accent sur le renforcement de l'estime de soi . On remarquera en effet qu'à plusieurs reprises on propose au lecteur de reprendre contact avec des évènements positifs passés qui ont contribué à renforcer l'estime de lui-même. On vise ici à recharger, au moins provisoirement le sujet, au niveau narcissique pour libérer l'énergie soit pour passer à l'action (pour le plan d'action anti- soucis de niveau1), soit pour se projeter avec conviction dans l'avenir (pour l'identification des priorités fondamentales). Si le 1 exercice vise à faciliter chez le sujet le retour à l'action, le second vise à consolider la personne dans ses fondements en lui permettant de reprendre contact avec ses valeurs et des idéaux essentiels.
Une fois les actions et les priorités identifiées, il est important de pouvoir les intégrer dans des outils de gestion du temps. C'est pourquoi nous recommandons la pratique des check-lists qu'il est conseillé de visualiser régulièrement. En effet, il arrive fréquemment que sous la pression du quotidien nous ayons tendance à procrastiner et à oublier les décisions prises lors de ces 2 moments de réflexion. Certains aspects évoqués dans cet article avaient été déjà abordés dans l'article: 1.9 L'art des check-lists pour désencombrer l'esprit. Nous reviendrons plus tard sur l'intérêt de la visualisation pour donner de la force à ces décisions.
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Bibliographie
Robert Ladouceur, Lynda Belanger, Eliane Leger, 2008, Arrêtez de vous faire du souci pour tout et pour rien, Odile Jacob, 149 p
Jeanine Chasseguet - Smirgel (1975) L'Idéal du Moi : essai psychalytique sur la maladie de l'idéalité, Editions Universitaires
La Lettre du Cadre - S'organiser pour réussir !
Jeanine Chasseguet - Smirgel (1975) L'Idéal du Moi : essai psychalytique sur la maladie de l'idéalité, Editions Universitaires
La Lettre du Cadre - S'organiser pour réussir !
Comprendre l'anxiété à la lumière des neuro-sciences
Certains soucis peuvent toucher des aspects archaïques de notre Moi. Lorsque l'émotion est trop forte l'activité corticale s'affaiblit et laisse le cerveau émotionnel prendre le dessus, ce qui renforce l'activité fantasmatique. Lorsqu'on fait éclater les soucis comme le recommande F. Perls en imaginant le pire consciemment, cela permet au cortex de reprendre le contrôle des émotions et de réduire l'activité fantasmatique. L'émotion ressentie est alors plus nuancée car en lien avec une réalité et non un fantasme archaïque. Vous avez compris ?