1. La pratique du désencombrement de l'Esprit : une nécessité pour les managers
La clarté de l'esprit n'est pas réservée aux anachorètes ou à ceux qui ont choisi la voie monastique. C'est un besoin essentiel pour tous les managers qui sont très souvent engagés dans des environnements complexes et extrêmes. Plus que tout autre ils doivent décider et agir avec le maximum de pertinence. Or, pour cela, il est nécessaire d'être capable de sortir d'une logique de réaction permanente et de cultiver, dans la mesure du possible, une posture d'action et si possible de pro- action. Les techniques de relaxation et plus encore de méditation peuvent servir d'appui pour cela.
Les techniques de relaxation si souvent utilisées par les sportifs de haut niveau pour préparer leurs compétitions peuvent présenter un intérêt évident pour tous les responsables confrontés à ces situations de stress intenses. Celles-ci ne sont pas sans effet sur leur état de conscience. Elles laissent des traces émotionnelles qui peuvent parfois altérer la relation à l'instant présent, à l'Autre et produire une certaine confusion mentale. Le stress s'accompagne en effet de réactions psycho neuro- motrices qui ne disparaissent pas immédiatement après l’évènement qui l'a causé. Tant que le sujet les garde en mémoire, le stress perdure, compromettant la rationalité de l'acteur. Dans les organisations dérégulées, nombreux sont les managers dont la rationalité est intoxiquée par les stress non résolus. Cet état latent de tension est souvent à l'origine de comportements problématiques qui peuvent parfois expliquer certains conflits interpersonnels ou des décisions douteuses sur le plan de la raison.
Le discernement, la lucidité, la pertinence sont aujourd'hui considérés comme des qualités essentielles pour développer une véritable intelligence de l'Action. Il est donc plus que jamais nécessaire que les managers apprennent non seulement à mieux comprendre leur fonctionnement émotionnel mais savoir aussi comment de se dégager de certaines émotions pour conserver un " l'esprit clair " dans l'adversité. C'est ce que leurs collaborateurs attendent d'eux en priorité.
Les techniques de relaxation si souvent utilisées par les sportifs de haut niveau pour préparer leurs compétitions peuvent présenter un intérêt évident pour tous les responsables confrontés à ces situations de stress intenses. Celles-ci ne sont pas sans effet sur leur état de conscience. Elles laissent des traces émotionnelles qui peuvent parfois altérer la relation à l'instant présent, à l'Autre et produire une certaine confusion mentale. Le stress s'accompagne en effet de réactions psycho neuro- motrices qui ne disparaissent pas immédiatement après l’évènement qui l'a causé. Tant que le sujet les garde en mémoire, le stress perdure, compromettant la rationalité de l'acteur. Dans les organisations dérégulées, nombreux sont les managers dont la rationalité est intoxiquée par les stress non résolus. Cet état latent de tension est souvent à l'origine de comportements problématiques qui peuvent parfois expliquer certains conflits interpersonnels ou des décisions douteuses sur le plan de la raison.
Le discernement, la lucidité, la pertinence sont aujourd'hui considérés comme des qualités essentielles pour développer une véritable intelligence de l'Action. Il est donc plus que jamais nécessaire que les managers apprennent non seulement à mieux comprendre leur fonctionnement émotionnel mais savoir aussi comment de se dégager de certaines émotions pour conserver un " l'esprit clair " dans l'adversité. C'est ce que leurs collaborateurs attendent d'eux en priorité.
2. Les tensions émotionnelles " non résolues " de la journée s'inscrivent dans le corps
La vie au travail se caractérise par une suite interrompue d'émotions dont nous n'avons pas toujours conscience. Cependant celles-ci s'impriment dans notre corps qui en conserve la mémoire. Le degré de tension de notre tonus musculaire trahit clairement notre état de conscience. Si, durant la journée, nous avons été confronté à de nombreuses situations émotionnelles intenses, il est probable que nous garderons un tonus musculaire relativement élevé plusieurs heures après, comme si les stress étaient toujours là. Si nous ne parvenons à nous détendre, il nous sera difficile de prendre "le train du sommeil".
Henri Laborit a bien expliqué les différents aspects de ce processus. Face à tout danger, nous produisons deux réactions fondamentales : la fuite ou la lutte. Ces réactions archaïques destinées à l'origine à éviter ou à s'opposer à la source de l'agression, ne peuvent pas toujours s'actualiser dans la vie sociale. Cependant, elles sont toujours à l'oeuvre à l'intérieur de nous. Elles s'expriment à travers des réactions neurovégétatives, endocriniennes et musculaires. Selon la psychologie gestaltiste, lorsque l'émotion est censurée et ne peut s'actualiser dans un comportement socialement acceptable, elle prend la voie somatique ; c'est-à-dire qu'elle retourne dans le corps.
Le corps n'existe pas isolément de l'activité psychique. Selon Groddeck et ses successeurs, fondateurs de la médecine psychosomatique, le tonus musculaire est le reflet de l'activité émotionnelle et mentale. Même si le stress a des conséquences physiques, il est toujours simultanément l'expression d'une souffrance émotionnelle non résolue. Lorsque le sujet fait l'expérience d'être " en inhibition d'action " trop prolongée, son activité mentale peut se trouver également perturbée ; ce qui se traduit par une difficulté à se déprendre de certaines pensées et ou des ruminations mentales confusantes.
Cette analyse nous permet de définir qu'il est finalement possible d'agir à trois niveaux pour soulager la souffrance. On peut aider le sujet à abaisser la charge émotionnelle d'un évènement traumatique qu'il a vécu en l'invitant à s'exprimer longuement sur celui-ci jusqu'à ce que les émotions douloureuses s'atténuent ; c'est la voie cathartique. On peut l'inviter également à agir sur son activité mentale comme le propose la méthode Vittoz.. On peut aussi l'aider à prendre conscience de son tonus musculaire et l’entraîner à la relâcher quand le danger n'est plus ; c'est ce que permettent les techniques de relaxation que nous nous proposons d'explorer dans cet article.
Henri Laborit a bien expliqué les différents aspects de ce processus. Face à tout danger, nous produisons deux réactions fondamentales : la fuite ou la lutte. Ces réactions archaïques destinées à l'origine à éviter ou à s'opposer à la source de l'agression, ne peuvent pas toujours s'actualiser dans la vie sociale. Cependant, elles sont toujours à l'oeuvre à l'intérieur de nous. Elles s'expriment à travers des réactions neurovégétatives, endocriniennes et musculaires. Selon la psychologie gestaltiste, lorsque l'émotion est censurée et ne peut s'actualiser dans un comportement socialement acceptable, elle prend la voie somatique ; c'est-à-dire qu'elle retourne dans le corps.
Le corps n'existe pas isolément de l'activité psychique. Selon Groddeck et ses successeurs, fondateurs de la médecine psychosomatique, le tonus musculaire est le reflet de l'activité émotionnelle et mentale. Même si le stress a des conséquences physiques, il est toujours simultanément l'expression d'une souffrance émotionnelle non résolue. Lorsque le sujet fait l'expérience d'être " en inhibition d'action " trop prolongée, son activité mentale peut se trouver également perturbée ; ce qui se traduit par une difficulté à se déprendre de certaines pensées et ou des ruminations mentales confusantes.
Cette analyse nous permet de définir qu'il est finalement possible d'agir à trois niveaux pour soulager la souffrance. On peut aider le sujet à abaisser la charge émotionnelle d'un évènement traumatique qu'il a vécu en l'invitant à s'exprimer longuement sur celui-ci jusqu'à ce que les émotions douloureuses s'atténuent ; c'est la voie cathartique. On peut l'inviter également à agir sur son activité mentale comme le propose la méthode Vittoz.. On peut aussi l'aider à prendre conscience de son tonus musculaire et l’entraîner à la relâcher quand le danger n'est plus ; c'est ce que permettent les techniques de relaxation que nous nous proposons d'explorer dans cet article.
3. La prise de conscience de ses propres tensions constitue la première étape du processus
La plupart des techniques de méditation nécessitent de savoir se relaxer. La relaxation n'est pas un état exceptionnel. Nous en faisons l'expérience tous les jours quand nous nous endormons, après un effort, ou tout simplement durant un bain. Le principe est simple. Il s'agit de se déconnecter de la vie corticale qui se caractérise par une activité mentale relativement intense. Pour atténuer celle-ci , il suffit de revenir sur ces sensations. Le simple fait de revenir sur celles-ci suffit à atténuer l'influence de l'activité corticale et à permettre un premier niveau de détente, appelé "alpha" par certains spécialistes (car le cerveau émet des ondes du même nom qui sont plus lentes que dans l'état de veille habituel).
On peut s'allonger ou même rester assis, en fermant les yeux et en laisser la conscience revenir sur les sensations. On peut guider le processus en explorant méthodiquement le corps. C'est la méthode Schultz qui propose de sentir d'abord le bras droit, puis le bras gauche, puis la jambe droite, puis la gauche, puis les fessiers et le dos, puis le ventre et le thorax et enfin la tête, le visage et recommencer lentement plusieurs fois, jusqu’à ce que le corps devienne plus lourd.
Le site passeportsante.net propose de belles expériences pour s’entraîner à retrouver très facilement cet état de conscience. Lorsque vous aurez pratiqué une fois ou deux ces exercices, vous serez prêts pour les suivants. Nous vous conseillons plus particulièrement la capsule 4 "Réponse de relaxation"
On peut s'allonger ou même rester assis, en fermant les yeux et en laisser la conscience revenir sur les sensations. On peut guider le processus en explorant méthodiquement le corps. C'est la méthode Schultz qui propose de sentir d'abord le bras droit, puis le bras gauche, puis la jambe droite, puis la gauche, puis les fessiers et le dos, puis le ventre et le thorax et enfin la tête, le visage et recommencer lentement plusieurs fois, jusqu’à ce que le corps devienne plus lourd.
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4. L'observation méditative permet d'atténuer l'influence des pensées et ou émotions obsédantes
La plupart des pensées et ou émotions ont un impact considérable sur notre état de conscience. Cela est dû au fait que nous sommes identifiés, collés à celles-ci. Il est facile de faire l'expérience de cette "aliénation fondamentale de l'esprit" en se souvenant de nos rêves particulièrement intenses. Lorsque nous rêvons, nous sommes persuadés que ce que nous avons vécu est une expérience réelle alors que ce n'est qu'une illusion. Cela est lié au fait que notre conscience est collée à nos images.
L'entrainement méditatif consiste non pas à supprimer les pensées ou les émotions comme on le croit parfois, mais à observer comment elles naissent et disparaissent. C'est l'occasion de se rendre compte que notre conscience se laisse très facilement entraîner par celles-ci. A force d'observer ce processus, celui-ci perd de sa puissance et avec le temps, le sujet devient capable de prendre un peu de distance et finalement de la liberté.
La technique consiste à observer sa respiration sans chercher à bloquer les pensées ou les images. Cela parait simple en théorie mais demande du temps car au départ le pratiquant a du mal à "accorder" son attention de façon "juste". La métaphore souvent utilisée pour représenter ce processus est celle de la corde d'un instrument de musique qu'on cherche à accorder à un diapason. Trop tendu, elle risque de casser comme l'esprit peut le faire à propos des pensées quand la volonté est trop mobilisée. Lorsqu'au contraire la corde est trop relâchée, le son manque de force ; c'est ce qui arrive à l'esprit quand la vigilance est insuffisante : les pensées, les images reprennent le dessus et la méditation se transforme en un songe. Il est à noter que cette seconde dérive est préférable à la première car la douceur est préférable à la violence. L'art de la méthode se situe au carrefour de 3 points clés qui doivent se mener simultanément :
1) Savoir doser son attention.
2) Observer les mouvements de l'esprit.
3) Ne pas se juger positivement ou négativement dans la qualité du processus.
Pour comprendre le sens de cet exercice méditatif, il est important de le considérer comme une véritable quête de la pertinence. Pour parvenir à accorder véritablement son attention, il est en effet nécessaire de pratiquer régulièrement. C'est en pratiquant régulièrement que, peu à peu, le pratiquant parvient à "accorder" son attention de façon à permettre "le décollement" de la conscience aux pensées, images, émotions.
Le but de l'exercice n'est pas le résultat mais la tentative elle-même. Beaucoup croit en effet que la pratique méditative se réduit à l'expérience du vide. Il n'en est rien ! Ceux qui sont dans cette croyance s'efforcent de tuer leurs pensées en leur interdisant d'émerger. Dans ce cas, il s'agit d'une violence qu'on exerce sur son propre esprit. Cela va dans le sens contraire du but recherché. L'individu, en effet augmente sa capacité à refouler ce qui contribue à amplifier la rigidité de son Surmoi. Au départ, au contraire, il ne faut pas être étonné du trop plein de pensées et aussi de la puissance que celles-ci exercent sur notre conscience. La première étape de la démarche passe en effet par la fait d'accepter humblement que notre esprit est aliéné .
La méthode peut se pratiquer dans n'importe quelle position, couchée, debout ou assis ; les yeux fermés ou mi-clos, au matin et au coucher, au moment de s'endormir. Quand on est un peu plus entrainé il est recommandé de le faire en position assise.
La capsule 5 de Passeportsanté "Méditation guidée" peut constituer une première étape pour comprendre en quoi consiste cet entrainement de l'esprit qui doit se pratiquer sur la durée. Il est possible de faire une ou deux séances avec ce support puis de se lancer dans la démarche méditative présentée ci- avant. Pour pouvoir tirer des conclusions crédibles, nous conseillons de faire une première expérience significative en pratiquant l'observation méditative 1 fois par jour pendant 7 jours.
L'entrainement méditatif consiste non pas à supprimer les pensées ou les émotions comme on le croit parfois, mais à observer comment elles naissent et disparaissent. C'est l'occasion de se rendre compte que notre conscience se laisse très facilement entraîner par celles-ci. A force d'observer ce processus, celui-ci perd de sa puissance et avec le temps, le sujet devient capable de prendre un peu de distance et finalement de la liberté.
La technique consiste à observer sa respiration sans chercher à bloquer les pensées ou les images. Cela parait simple en théorie mais demande du temps car au départ le pratiquant a du mal à "accorder" son attention de façon "juste". La métaphore souvent utilisée pour représenter ce processus est celle de la corde d'un instrument de musique qu'on cherche à accorder à un diapason. Trop tendu, elle risque de casser comme l'esprit peut le faire à propos des pensées quand la volonté est trop mobilisée. Lorsqu'au contraire la corde est trop relâchée, le son manque de force ; c'est ce qui arrive à l'esprit quand la vigilance est insuffisante : les pensées, les images reprennent le dessus et la méditation se transforme en un songe. Il est à noter que cette seconde dérive est préférable à la première car la douceur est préférable à la violence. L'art de la méthode se situe au carrefour de 3 points clés qui doivent se mener simultanément :
1) Savoir doser son attention.
2) Observer les mouvements de l'esprit.
3) Ne pas se juger positivement ou négativement dans la qualité du processus.
Pour comprendre le sens de cet exercice méditatif, il est important de le considérer comme une véritable quête de la pertinence. Pour parvenir à accorder véritablement son attention, il est en effet nécessaire de pratiquer régulièrement. C'est en pratiquant régulièrement que, peu à peu, le pratiquant parvient à "accorder" son attention de façon à permettre "le décollement" de la conscience aux pensées, images, émotions.
Le but de l'exercice n'est pas le résultat mais la tentative elle-même. Beaucoup croit en effet que la pratique méditative se réduit à l'expérience du vide. Il n'en est rien ! Ceux qui sont dans cette croyance s'efforcent de tuer leurs pensées en leur interdisant d'émerger. Dans ce cas, il s'agit d'une violence qu'on exerce sur son propre esprit. Cela va dans le sens contraire du but recherché. L'individu, en effet augmente sa capacité à refouler ce qui contribue à amplifier la rigidité de son Surmoi. Au départ, au contraire, il ne faut pas être étonné du trop plein de pensées et aussi de la puissance que celles-ci exercent sur notre conscience. La première étape de la démarche passe en effet par la fait d'accepter humblement que notre esprit est aliéné .
La méthode peut se pratiquer dans n'importe quelle position, couchée, debout ou assis ; les yeux fermés ou mi-clos, au matin et au coucher, au moment de s'endormir. Quand on est un peu plus entrainé il est recommandé de le faire en position assise.
La capsule 5 de Passeportsanté "Méditation guidée" peut constituer une première étape pour comprendre en quoi consiste cet entrainement de l'esprit qui doit se pratiquer sur la durée. Il est possible de faire une ou deux séances avec ce support puis de se lancer dans la démarche méditative présentée ci- avant. Pour pouvoir tirer des conclusions crédibles, nous conseillons de faire une première expérience significative en pratiquant l'observation méditative 1 fois par jour pendant 7 jours.
5. Une autre méthode pour développer une plus grande lucidité : la rétrospection
La rétrospection est également une technique très ancienne qui n'est pas sans ressembler à l'examen de conscience. Chaque jour, il convient de se remémorer sa journée en observant ce qui s'est bien passé comme si ce qui s'est déroulé avec souffrance ou tension. Mais à la différence de l'examen de conscience qui se traduit souvent par un jugement de valeur qu'on porte sur ses actions en estimant qu'elles sont bien ou mal du point de vue de la morale, l'exercice consiste simplement à reconstituer les différents évènements de sa journée en observant comment les choses se sont passées. Cet exercice développe la capacité à prendre du recul et à mieux maîtriser ses émotions en situation. On peut commencer l'exercice soit par l'événement le plus marquant soit par la fin de la journée, soit par le début. Là aussi, n’espérez pas vous remémorer la totalité des évènements. Seuls les évènements chargés émotionnellement réapparaîtront dans notre conscience.
Le but de cet exercice n'est pas évidemment de développer sa mémoire des évènements mais d'amplifier la capacité de l' esprit à s'observer lui-même. A travers cet apprentissage, peu à peu le sujet augmente sa capacité à prendre de la distance par rapport à ce qu'il pense ou s'émeut en lui. Cette prise de distance progressive est présentée par certains sages comme le début de la libération.
Le but de cet exercice n'est pas évidemment de développer sa mémoire des évènements mais d'amplifier la capacité de l' esprit à s'observer lui-même. A travers cet apprentissage, peu à peu le sujet augmente sa capacité à prendre de la distance par rapport à ce qu'il pense ou s'émeut en lui. Cette prise de distance progressive est présentée par certains sages comme le début de la libération.
Conclusion
Se relaxer, visualiser, observer, ces processus mentaux sont des activités qui peuvent sembler du temps perdu. Elles constituent cependant pour qui veut les mettre en pratique l'occasion de développer de nouvelles ressources cognitives et pourquoi pas sapientielles. Elles ne substituent pas à l'action mais peuvent au contraire contribuer à la rendre plus intelligente.
Les lecteurs ayant expérimentés ces méthodes sont invités à nous faire part de leurs expériences et de leurs réflexions à ce sujet.
Les lecteurs ayant expérimentés ces méthodes sont invités à nous faire part de leurs expériences et de leurs réflexions à ce sujet.
Bibliographie
Les 4 Temps du Management