Résumé :
L’oeuvre philosophique de Maurice Blondel (1928). Paris : Librairie Bloud & Gay , 1928, 251 pp. Collection : “ Cahiers de la Nouvelle Journée n°12 ”.
Jouer de la vie comme d’un jeu ; varier et multiplier ses expériences, mais uniquement pour aviver la jouissance et se mieux garder de l’illusion ; agir, puisque c’est nécessaire, " mais en tuant l’action par la sécheresse de la science et la science par la fécondité du rêve " ; tout essayer, tout goûter et tout user : c’est la recette que propose le dilettantisme. Elle est ingénieuse, mais elle souffre une difficulté que n’a généralement pas vue la vanité du dilettante : c’est que l’expérience n’est jamais achevée, c’est que personne n’a jamais épuisé ni n’épuisera jamais tout jusqu’au fond.
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Jouer de la vie comme d’un jeu ; varier et multiplier ses expériences, mais uniquement pour aviver la jouissance et se mieux garder de l’illusion ; agir, puisque c’est nécessaire, " mais en tuant l’action par la sécheresse de la science et la science par la fécondité du rêve " ; tout essayer, tout goûter et tout user : c’est la recette que propose le dilettantisme. Elle est ingénieuse, mais elle souffre une difficulté que n’a généralement pas vue la vanité du dilettante : c’est que l’expérience n’est jamais achevée, c’est que personne n’a jamais épuisé ni n’épuisera jamais tout jusqu’au fond.
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