Résumé :
" Les monstres des gargouilles ressemblent au visage humain de façon à faire trembler. Le dieu grec ressemble au visage humain de manière à nous consoler tous. Ce sont deux imitations de la nature, l'une et l'autre vraie. Le monstre exprime à sa manière que le corps humain est animal ; le dieu signifie un corps pensant. L'un nous invite à nous défier, et il est vrai qu'il faut se défier ; l'autre nous invite à nous confier, et il est vrai qu'il faut se confier. Ce sont deux modèles ; l'un, de l'expression non gouvernée, l'autre, de l'expression gouvernée. D'un côté le corps abandonné, de l'autre le corps repris selon la musique et la gymnastique. De l'un l'âme séparée ; dans l'autre l'âme réconciliée. " - Alain -
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