La plupart des indicateurs de l'économie française sont au rouge : 10,6% de la population active au chomâge, taux de croissance nul, voire en récession, déficit public de 1,833 milliard en décembre 2012. Tout laisse à penser que la France entre définitivement en déclin...
Mais en observant de plus près la situation, de réelles possibilités de redéveloppement stratégique apparaissent clairement :
- Le choix de la compétitivité hors prix fait aujourd'hui l'unanimité.
- Seulement 5% de nos entreprises font de l'exportation et sur ces 90 000 entreprises, près de 80% sont des grandes entreprises. L'exportation constitue donc un levier de redéveloppement d'autant plus pertinent à actionner que les populations des pays dits émergents voient leur niveau de vie augmenter significativement. Il y a donc là un formidable gisement de consommateurs avec lesquels il faut entrer en contact avant que d'autres pays ne le fassent.
- Le E-commerce a connu ces 3 dernières années une croissance de 84%. Avec Internet, même une TPE peut s'attaquer au marché mondial.
- La prise de conscience par les consommateurs de la nécessité de respecter la planète ouvre aussi de nouvelles voies autour du développement durable.
- De nombreux investisseurs étrangers, notamment chinois, sont prêts à investir dans nos entreprises.
- Les pouvoirs publics ont mis en place des mesures nouvelles pour soutenir ces orientations (Y compris le rétablissement des taxes douanières...).
Tout est fait pour que notre économie reparte vers un futur meilleur. Mais cela demande de remettre en question nos anciennes convictions ! Pourquoi encore s'acharner à vouloir réduire le cout du travail comme le propose Messieurs Louis Gallois et Pierre Gattaz alors que la vraie question est celle de la Valeur Client qui reste absente des discours officiels ? C'est grâce à elle que nous pouvons espérer détourner le client de sa fascination pour le prix et créer suffisamment de valeur pour satisfaire toutes les parties prenantes. Avec plus de valeur,il est possible de rémunèrer les actionnaires, d'augmenter les rémunérations, ce qui ne sera pas sans consequence sur la consommation, de supporter les cotisations sociales et de payer les risques pris par l'entrepreneur.
Dans cette lettre 34, nous proposons de :
1°) Prendre conscience de la violence invisible qui s'est installée insidieusement dans nos comportements langagiers quotidiens
2°) Mieux comprendre le fonctionnement de la personnalité à travers la contribution de Georges Trépo, Professeur honoraire en Management à HEC
3°) Explorer les alternatives que nous pouvons mettre en place pour sortir de l'océan rouge de la concurrence
4°) Découvrir les fondements d''un nouveau modèle de management que l'auteur de l'article Pierre Olivier Gros qualifie de post moderne
La métamorphose de nos modèles stratégiques et managériaux apparaissent aujourd'hui comme une nécessité si nous voulons concrètement entrer dans une nouvelle ère. Cela suppose d'accepter que le " problème ne puisse pas etre résolu en réfléchissant avec la même manière que celle qui a créé le problème" (Albert Einstein).
Mais en observant de plus près la situation, de réelles possibilités de redéveloppement stratégique apparaissent clairement :
- Le choix de la compétitivité hors prix fait aujourd'hui l'unanimité.
- Seulement 5% de nos entreprises font de l'exportation et sur ces 90 000 entreprises, près de 80% sont des grandes entreprises. L'exportation constitue donc un levier de redéveloppement d'autant plus pertinent à actionner que les populations des pays dits émergents voient leur niveau de vie augmenter significativement. Il y a donc là un formidable gisement de consommateurs avec lesquels il faut entrer en contact avant que d'autres pays ne le fassent.
- Le E-commerce a connu ces 3 dernières années une croissance de 84%. Avec Internet, même une TPE peut s'attaquer au marché mondial.
- La prise de conscience par les consommateurs de la nécessité de respecter la planète ouvre aussi de nouvelles voies autour du développement durable.
- De nombreux investisseurs étrangers, notamment chinois, sont prêts à investir dans nos entreprises.
- Les pouvoirs publics ont mis en place des mesures nouvelles pour soutenir ces orientations (Y compris le rétablissement des taxes douanières...).
Tout est fait pour que notre économie reparte vers un futur meilleur. Mais cela demande de remettre en question nos anciennes convictions ! Pourquoi encore s'acharner à vouloir réduire le cout du travail comme le propose Messieurs Louis Gallois et Pierre Gattaz alors que la vraie question est celle de la Valeur Client qui reste absente des discours officiels ? C'est grâce à elle que nous pouvons espérer détourner le client de sa fascination pour le prix et créer suffisamment de valeur pour satisfaire toutes les parties prenantes. Avec plus de valeur,il est possible de rémunèrer les actionnaires, d'augmenter les rémunérations, ce qui ne sera pas sans consequence sur la consommation, de supporter les cotisations sociales et de payer les risques pris par l'entrepreneur.
Dans cette lettre 34, nous proposons de :
1°) Prendre conscience de la violence invisible qui s'est installée insidieusement dans nos comportements langagiers quotidiens
2°) Mieux comprendre le fonctionnement de la personnalité à travers la contribution de Georges Trépo, Professeur honoraire en Management à HEC
3°) Explorer les alternatives que nous pouvons mettre en place pour sortir de l'océan rouge de la concurrence
4°) Découvrir les fondements d''un nouveau modèle de management que l'auteur de l'article Pierre Olivier Gros qualifie de post moderne
La métamorphose de nos modèles stratégiques et managériaux apparaissent aujourd'hui comme une nécessité si nous voulons concrètement entrer dans une nouvelle ère. Cela suppose d'accepter que le " problème ne puisse pas etre résolu en réfléchissant avec la même manière que celle qui a créé le problème" (Albert Einstein).