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Les limites des sciences " calculatrices "
Les caractéristiques de la performance d'entreprise sont aujourd'hui, assez différentes, de celles du passé. Il ne s'agit plus de " produire en quantité " mais de " servir en qualité " en faisant des offres innovantes. Cette perspective, passe par la mobilisation de l'intelligence humaine. Or, cette variable n'est pas encore vraiment prise en compte par les sciences de gestion classique, qui reposent pour la plupart, sur le paradigme productiviste et matérialiste des années 50.
C'est pourquoi, nombre de managers ont tendance à privilégier les sciences calculatrices au détriment des sciences humaines. Ce faisant, ils opèrent, sans le savoir (inconsciemment), à une véritable " réduction anthropologique " en utilisant, de façon exclusive, des concepts, des méthodes et des outils très efficaces pour gérer des objets, mais peu adaptés pour " manager des sujets ". La Lettre des 4 Temps du Management est là, pour combler cette lacune, qui contribue à entretenir un certain malaise, entre les décideurs et leurs collaborateurs.
Dans ce numéro 4 articles seront présentés :
- 1° Chronobiologie et efficacité personnelle : comment gagner 1h 30 par jour permettra au lecteur d'être plus attentif à lui-même, en découvrant la variabilité de ses propres rythmes d'énergie. S'il parvient à en tenir compte, non seulement il ressentira moins de fatigue dans l'action, mais pourra réellement gagner 1h 30 par jour, soit près de 24 jours par an. (Mieux que la RTT !)
- 2° La régulation des émotions : une nécessité pour la santé psychique des équipes rappellera qu’une communauté humaine est avant tout une communauté d'émotions. Les groupes, comme les individus ont besoin que celles-ci soient régulées pour se transformer en énergie de changement.
- 3° La stratégie du Dauphin : Une nouvelle manière de penser pour affronter les transformations incessantes du monde décrit de façon métaphorique la nécessité de mobiliser d'autres ressources cognitives que celles que nous avons jusqu'à présent utilisées.
- 4° Anatomie du coopératisme de Mondragon (Pays Basque), dans lequel l'auteur, Monsieur Andrès Atenza Directeur général du groupe ESC Clermont, Président du Chapitre de la Conférence des Grandes Ecoles, met en évidence qu'il n'est pas utopique de vouloir associer " performance économique " et " progrès social ".
C'est pourquoi, nombre de managers ont tendance à privilégier les sciences calculatrices au détriment des sciences humaines. Ce faisant, ils opèrent, sans le savoir (inconsciemment), à une véritable " réduction anthropologique " en utilisant, de façon exclusive, des concepts, des méthodes et des outils très efficaces pour gérer des objets, mais peu adaptés pour " manager des sujets ". La Lettre des 4 Temps du Management est là, pour combler cette lacune, qui contribue à entretenir un certain malaise, entre les décideurs et leurs collaborateurs.
Dans ce numéro 4 articles seront présentés :
- 1° Chronobiologie et efficacité personnelle : comment gagner 1h 30 par jour permettra au lecteur d'être plus attentif à lui-même, en découvrant la variabilité de ses propres rythmes d'énergie. S'il parvient à en tenir compte, non seulement il ressentira moins de fatigue dans l'action, mais pourra réellement gagner 1h 30 par jour, soit près de 24 jours par an. (Mieux que la RTT !)
- 2° La régulation des émotions : une nécessité pour la santé psychique des équipes rappellera qu’une communauté humaine est avant tout une communauté d'émotions. Les groupes, comme les individus ont besoin que celles-ci soient régulées pour se transformer en énergie de changement.
- 3° La stratégie du Dauphin : Une nouvelle manière de penser pour affronter les transformations incessantes du monde décrit de façon métaphorique la nécessité de mobiliser d'autres ressources cognitives que celles que nous avons jusqu'à présent utilisées.
- 4° Anatomie du coopératisme de Mondragon (Pays Basque), dans lequel l'auteur, Monsieur Andrès Atenza Directeur général du groupe ESC Clermont, Président du Chapitre de la Conférence des Grandes Ecoles, met en évidence qu'il n'est pas utopique de vouloir associer " performance économique " et " progrès social ".
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